Étudier en Chine
La Chine a de quoi faire rêver : ce pays immense connaît des taux de croissance et de développement bien supérieurs à ceux des marchés européens ! Il présente donc des perspectives alléchantes pour des jeunes qui ont le goût de l'aventure !
Étudier en Chine est un projet démontrant une grande ouverture d'esprit, que cela soit dans le but d’apprendre le mandarin, ou tout simplement de poursuivre des études en anglais dans un nouveau cadre passionnant.
La Chine est un des pays majeurs de l'économie de demain, et le gouvernement porte une attention toute particulière à l'éducation supérieure avec pour objectif de porter les universités chinoises au sommet des classements mondiaux d'ici à 2022.
Près de 10.000 étudiants rendent chaque année dans l’Empire du Milieu pour un séjour d’études. Un chiffre en augmentation constante. Avec, à la clé, une expérience originale, dans l’une des puissances économiques montantes.
Pays de tous les superlatifs, la Chine attire de plus en plus d'étudiants algériennes . On y compte plus de 2.000 établissements d'enseignement supérieur et les partenariats sino-français se multiplient. Mais attention : ce pays nécessite quelques capacités d'adaptation !
Principale raison de vouloir partir : apprendre le chinois, l'une des langues les plus difficiles au monde. Cependant, il n'est pas nécessaire de parler couramment la langue pour étudier en Chine. Les plus grandes universités du pays (Tsinghua, Jiao-tong, Fudan, Zhejiang...) ont mis en place des facultés destinées aux étudiants étrangers pour qu'ils y apprennent la langue. Connues sous le nom de "facultés des échanges internationaux" ou "centres internationaux culturels et linguistiques", elles regroupent des étudiants de toutes les nationalités autour de programmes spécifiques. Autre possibilité : suivre un cursus en anglais.
Mais si vous voulez vraiment entreprendre une formation en mandarin, sachez que les universités du pays demandent souvent aux étudiants de témoigner de leur niveau de chinois avant de les accepter. Le test HSK (Hanyu Shuiping Kaoshi) a ainsi été créé par les autorités chinoises sur le modèle du TOEFL (Test of English as a Foreign Language), qui sert à évaluer le niveau d'anglais.